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Mostrando postagens de fevereiro, 2008
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Hier, tu as bu du jus d'Orange dans l'espoir de te sentir meilleur. Alors là, qu'on me dise qu'en l'absence de mollet, si ça peut courir sans anicroche, c'est l'essentiel. Ok, tu mets ça hors ligne, Xavier, c'est terminé maintenant. T'as fait ton butor comme d'habitude. C'est permis, mais ça va bien. D'où ça vient tous ces paroles? Faut être plus open-minded, les bédouins, et j'en suis. On s'pignole pas derrière la vase. (1) Le jus d'Orange est sur la pente. (2) Assez parlé, tu vas te vendre. "Clovis, C'est ma mère, et Michel va avoir besoin d'une chorale d'église aussi." Hihi!
Et à l'horizon, très émue dans sa robe pêche, Mamy. Récompensée. Aujourd'hui, ça donne grave, on a 20 dollars pour faire les mariolles. C'est deux billets avec retour éventuel pour la traversée du fleuve, avec multitude de stiolbées qui nous dardent leur karma le long de l'axe. - Une tumeur, c'est qu'une tumeur. On va pas en faire tout un paquos. Fort de son choix récent d'utiliser des exfoliants spirituels naturels, - C'est son droit, même s'il en pleure son jagon - Fils nous bannirait bien de sa communauté s'il en avait l'occasion. Laissons lui sa chance, et la nôtre par la même. ARGh. Il est mort de trop d'hommages, et sans perversités. Des pignoufs exhaltés, et jusqu'au thanatopracteur, ils l'ont tous chéri. Mais c'est dans les moments difficiles qu'on voit souvent les pierres rouler. Et le bourbon qui mousse, encore et encore, presque antillais, mais biaisé. Embarqué dans un plan pathogène primaire, tu y es violemment

...co dalej...

...i co...i nic... ...2 dni aż było optymistycznie a teraz dalej to samo...ehhh...już wiem, że tak będzie...no nic...świata nie zmienie...w sumie to nie chce nawet...bo tutaj jest jak jest po prostu...nijak...nie czuje...bo nie chce chyba czuć...w sumie to nie wiem czy jest sens...teraz to już nie wiem... ...bezsensu...żyć nadzeją i marzeniami można miesiąc...dwa...ale nie tyle czasu...ja chyba mam dość już też nadziei i marzeń...które i tak wiem, że mogą runąć w jednej chwili... ...ehhh...samotny świat...to jest moje miejsce... ...na tym dzisiaj zakończę...

...próba ?...czego...

...no wtorkowy dzień...zaczął się obiecująco...wstałem z nadziejami...potem przychodnia...kolejka...ponad godzine siedzenia...ale nawet przez chwilę nie było widać marudzenia...że kolejka...że ktoś się jeszcze wpycha do kolejni...nie było...był strach...stres...nerwy niesamowite...gdy wszedłem do gabinetu pani doktor to wszytko zostało gdzieś na poczekalni...krótka rozmowa...padły konkrety...że lepiej...że walcze... ...no tak walcze...napisałem Jej smsa...chciałem Ją poczuć...tak jak czułem przez większość dni...do końca wachałem się czy wysłać smsa...jednak nacisnąłem ten cholerny przycisk w telefonie...niby było dobrze...niby... ...pękło coś...we mnie...pewnie i w Tobie...tylko o tym nie mówisz...we mnie pękło...nie ma już Efci, nie ma już Zony, Dziubka...jest normalna dziewczyna na liście komunikatora...czemu się tak stało...nie wiem...chce żeby się to zmieniło...ale nie potrafię... ...już nie wyczekuję Ciebie tak jak pare dni temu...nie cieszy mnie już tak rozmowa z Tobą...ot takie

...trzeba mieć nadzieję...

...kolejny dzień...zaniedługo kolejna noc...niby tak samo...a jednak inaczej... ...tak samotnie...tak dziwnie...tak dawno już nie czułem...dziwne to wszystko...czekaliśmy od dawna na 14 luty...na dzień yyy na święto właściwie...tak...mieliśmy świętować...TY nawet zaczęłaś...bo pamiętam...że jak ja jechałem do pani doktor to wysłałaś mi smsa, że 2 lekcje Wam przepadły i że już można świętować...tak pamiętam to...mi nie byłó w sumie to śmiechu...miałem jakieś przeczucie... ...tak dziwnie jakoś się czułem...no i chyba coś w tym było...wieści nie były dobre...wszakże nadzieja może i robi cuda...to dla mnie staje się to coraz bardziej śmieszne... ...kolejne badania miały być...ja nie chce tego...kolejne leki...które powodowały już u mnie palpitacje...nie byłem sobą...2 dni temu chciałem wrócić do życia...ubrałem sportowy dres...ukochane buciki do grania...wziąłem piłkę...poszedłem na podwórko...pobawić się piłką...w głowie był cel...wrócić do drużyny i wrócić do życia...nie trwało to długo.
Fils, un mot qui a fait l'objet de bien des enjeux et des conflits, dont le reflet est l'histoire de ses définitions. Dans un germe de pourriture, on peut voir bien des oracles. Tu es limpide, tu meurs de foison, si l'on écoute le bruit. Le courage, ça n'en donne, c'est trépidant. Bonne nuit. Fils, oublie que tu es un vilain, pense un peu aux pouces. Ne pas perdre de vue les chevals de joie. Hihi. Dans la faible envie d'une jeunesse interlope, c'est l'envie. Rhum+Antibiotiques+Brau+Cancer, ça donne la guérison.
- Dans une éloge funèbre, on doit dire que Fils était bon, ça c'est sûr. On peut pas se permettre de baver sur sa gueule, il est mort. - Oui, et alors, c'est le lot quotidien d'un enfant! - Et tu baves sur les enfants? - Si je ne te revois pas avant Pâââques... Jeannie fit une courte pause, s'autorisant sans volonté. - Je te souhaite de bonnes fêtes. Point. Fils était, bon, une erreur de la nature, j'avoue. Amphétamines 24/24, cure de kéta et de Prozac tous les week-ends, c'était devenu un buvard stérile, juste une petite trace, rien qu'à gober. Une crouille sans nom, un philippin, on est d'accord? Mais Fils permet une chose dans le récit, assez extraordinaire, dans un lieu de méditation de choix, pousse la porte du camion jovial, puisqu'on ne peut la citer que dans un état avancé et tous les millénaires. Il réssuscite, le salaud. Revenu de son camtar (en attendant les cieux) et tout ça pour nos sales gueules de chrétiens athées à putes et à pinard.

...śpij słodko...

...no i dawno mnie nie było...jakoś brak weny a może czasu...dzisiaj wróciłem bo ten dzień to chyba zapamiętam do końca swoich dni... ...dzień jest hmmm...szczególny nawet bardzo...dziś pożegnałem Mojego Przyjaciela...od 10 lat potrafił mnie wkurzyć...potrafił mnie rozweselić...potrafił coś jeszcze...potrafił BYĆ... ...może to głupie...pisać tak o Przyjacielu który był psem...jeśli tak to przepraszam za głupotę... ...Kruczek bo tak się wabił mój piesio przeszedł ciężką drogę...ostatnie dni były dla Niego okropną męką...pozostawiony na pastwę losu...samotny...szukałem go...a on spokojnie czekał...wreszcie wczoraj odnalazłem go...przerażony...zziębnięty...bezbronny...taki widok zastałem...myślałem, że już jest martwy...jednak na moje słowa "Kruczek chodź idziemy do domu" on otworzył oczka...patrzył na mnie...i chciał do mnie iść...nie dał rady...zmażdzona miednica wraz z tylnymi łapkami skutecznie go powstrzymywały...pomogłem mu...zawinąłem go w kurtke i biegiem zaniosłem do do
REVUE DE TROUPE RAPIDE, et INTEGRATION DE NOUVELLES ESPECES inhérentes à la suite de l'exercice qui rique de s'avérer délicate. Toi. Tu peux commencer. - Fils. Je suis mort récemment. Une résurrection est à prévoir sous peu. - Bien c'est noté. Au suivant. - Michel, oui Michel, Michel de joie, Michel, imprévisible Michel. - J'aquiesce. Je suis de ton côté, Michel, et tu le sais. - Clovis, je dors et me tripote. - Trouve autre chose, c'est d'un banal. - Clovis, je suis une chiennasse? - Parfait, ils vont adorer. - Les Morbacks de Jeannie, nous risquons de devenir un personnage récurrent. - Hein? D'où? - Nous allons prendre le contrôle du monde. - MATRICULE! BORDEL DE MERDE! LE MATRICULE! - Les Morbacks de Jeannie, nous allons prendre le contrôle du monde. - Très bien, c'est évident, mais je n'aimais pas la mise en forme. Et toi, qui est tu? - Le Cramtar. Lieu de méditation. Parallèle biblique éventuel. - Putain, mais on est où là. Excellent, excellent
Et toi Fils, que faisais-tu le lundi 4 février 2008, à 22h14? Le risque était en fait de décevoir en se suffisant. Si tu te prenais pour un vulgaire Ramzy patraque -Dieu- sans connaitre les remontrances encourues, tu n'as que ce que tu mérites. Oeil pour oeil, dent pour dent, et ça marche surtout pour toi-même. En essayant d'être audible et surtout très clair, tout aurait été beaucoup plus simple. J'entoure le mot simple. Mille fois. Tu ne sais plus ce que tu dis. Tu perds pied dans ton prop trip, dans ta propre expérience. - On verra après. Tu te l'es souvent dit? - Tous mes idéaux, derrière la gueule. Pourquoi tu continues? Il y a [peur], puis [peur/dégoût], puis [non en fait], puis [dégoût/attente], puis [bourré/dégoût], je peux encore en rajouter plein. Je vais lire. Et me perdre.
Problème. La conscience s'est souvent présentée à Michel ces derniers temps. Rien ne peut être choisi par envie, et surtout pas le rôle d'enfant ou d'animal mûr. Tout ne peut être résolu par les chiffres, et tenter de dominer ce genre de domaine phallocrate est un suicide. Tu peux manger la terre brûlante, te dorer à la lune, sans prétentions. C'est possible. En fait, tout est possible, sans prétentions. Qu'on puisse dire qu'ils sont malsains, j'y crois. Qu'ils le soient vraiment, c'est non, leur conscience les trompent. Ce qu'il nous faudrait, c'est une solution pour densifier le problème. Quelque chose de complètement con, de tremblant, d'éphémère. Là, l'instinct animal s'impose, et c'est sans grandes illusions qu'on invoque le sensible. Mais merde, je veux du dérisoire! Du sans vie! De l'artificiel. - Maintenant, toi, le narrateur, tu peux dormir sur tes deux oreilles, en pensant aux portugais qui viendront demain m
Alors il se peut qu'il existe vraiment. Dans tous les cas, il n'en a pas assez dit, et doit nous cacher quelquechose. VEULE! VEULE! C'EST VEULE! C'EST COMPRIS? Ouai, pleurnicher, ouai, mais c'est Fils qu'on adule. Et Mamy. Et Jeannie passe la soirée dans l'abattoir. Deux dimanches sur quatre, c'est pénitence. - Tu le veux le pain? Toi, l'orphelin, tu le veux le pain? - Oui, mais ce trou est ma famille. - De Jeannie? - J'en parle depuis tout à l'heure. C'est la dent dure et sans doute armé d'un Loa loa filariasis que Fils et Michel retardent dûment l'échéance. Allez, on pleure tous. - Ouin. - Ouin. - Ouin. - C'est ouin. - Allez Fils. Tu pleures maintenant. - ... - Tu dois. - ... Fils ne peut pas, il a connu trop d'émotions sous kétamine.
Et à Cocksucks de dire, soyeusement : "Je hais le spunksupper titty fucks contemporain. Et il a rendu cuntlapps d'un chanteur de carne, c'est les balls vaseux du lendemain. Cocksucks aile-longue du Pacifique ? Fingerfucks perlé ? Les deep throats éthiques régulant l’expérimentation invasives sont nombreuses mais pour survivre fistfucks un pot de yaourt, il s'agit d'assrush considérablement. (on dit MLP pour "multi-gangbangs wad pulls"). Gamahuches et sex fights de domestication, donc backpropagation en fingers. Dans le cas d'un apprentissage gangbangs défaillant à l'église afterburner catholique, ou, mieux, dans le cadre d'un td avec le pape "long finger" Shenouda III, Fils supercockboy s'y refuse mais c'est gigafannyfarmer de joie dès le matin."

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